Charte de l’arbre urbain

Charte de l’arbre urbain

Une Charte de l’arbre urbain peut être signée par les collectivités soucieuses des arbres de leur territoire. Elle précise leurs objectifs et moyens quant à la préservation, gestion, restauration, extension et enrichissement de ce patrimoine. C’est aussi un document cadre pour leurs relations avec les concessionnaires de réseaux (EDF, GDF, CGE, France Télécom, etc.), les aménageurs et promoteurs, les gestionnaires de lotissements et de zones d’activité, les architectes, les entreprises privées, habitants, etc..

Il s’agit parfois d’un document très complet comme à Montpellier qui dispose d’une charte de 98 pages sur l’arbre urbain. Elle peut comme à Nantes intégrer une volonté de trame verte ou de limitation des risques de pollinoses. Elle peut enfin, comme à Lyon, évoluer au fil du temps pour accompagner l’essor d’une approche partenariale et décloisonnée de l’arbre en ville.

Il existe aussi une Charte européenne de l’arbre d’agrément visant à « régir les principaux rapports entre l’Homme et l’Arbre d’Agrément. Elle a été rédigée à l’occasion du 2e congrès européen d’arboriculture tenu à Versailles le 29 septembre 1995 et signée alors par les représentants de l’International Society of Arboriculture présents : France, Italie, Espagne, Allemagne-Autriche, Danemark, Angleterre et Irlande, Norvège) ».

 

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